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Quand le fils de Kristine Barnett, Jacob, avait 2 ans, les médecins l’ont diagnostiqué comme autiste. Il passa des années dans l’enfermement d’un système éducatif spécialisé qui l’enfonçait encore plus. Aujourd’hui, à 15 ans, il prépare un Masters en physique quantique sur certains des problèmes théoriques les plus complexes de cette discipline. S’il les résout, il pourrait être en droite ligne pour un prix Nobel, dit un de ses professeurs, Scott Tremaine de l’université d’Indiana.

La clé, selon sa mère, fut de le laisser étudier ce qui le fascinait, ces questions qui le laissaient émerveillé, plutôt que de le forcer à étudier des choses qu’il ne pouvait pas faire. Ses premiers enseignants cherchèrent à dissuader Kristine Barnett d’enseigner quoique ce soit d’autre à Jacob que les compétences les plus élémentaires. Mais ce type d’enseignement ne faisait que l’enfoncer de plus en plus en lui-même au point qu’il refusait de parler à qui que ce soit.

Mais sa mère avait remarqué que quand Jacob n’était pas en thérapie, il faisait des choses spectaculaires tout seul. Alors elle eut le courage – elle, une maîtresse enfantine – de le sortir du système et de l’éduquer elle-même, en suivant son intuition et en le laissant extrêmement libre. Elle opère avec le concept de « beaucoup de » - entourer les enfants de beaucoup de ce qu’ils aiment : musique, art, mouvement, la nature… tout ce qui les stimule spontanément.

A 11 ans, il était prêt pour le collège (18 ans aux USA). Son QI est de 170, supérieur à celui d’Einstein, et à 15 ans il travaille actuellement pour développer sa propre théorie de la relativité.
(nydailynews.com/life-style/health/autistic-boy).